dimanche 20 février,
Il fait plus frais que je ne pensais, 2,5° et j’ai peu être eu tord de partir en cuissard court, tant pis.
8h15, SMS de Luc, il est crevé, enfin pas lui, son vélo. Il sera là mais en retard, du coup, et c’est lui qui a la clé.
Quand j’arrive au Stade, je retrouve sur place Sylvain, Thierry, Abdou, Lolo, 2 invités dont les prénoms m’ont échappés, désolé les gars, puis Luc qui arrive enfin. Opération café et il est temps de s’élancer, car déjà 9h15 et on est plusieurs à être invité ce midi.
Donc, direction Montreuil, histoire de changer du parcours des semaines passées. On démarre tranquillement direction Vieux Briollay, et on tourne au pont du TGV, Lolo m’enrhume au passage, sur la plaque, il a la pêche ce matin ou bien…
On poursuit en direction du terrain de motocross puis on se regroupe au carrefour sur la rote de Tiercé–Soucelles, mais j’ai beau recompté, il manque quelqu’un. A priori, c’est Lolo qui a disparu, claquage ? de la bougie ?
Ensuite, direction les bois de Montreuil, par divers chemins, on coupe la route de Tiercé-Montreuil et on monte en direction du bois. Mais là, il y a un problème car on n’est que 3, où sont donc les autres, incident, défaillance humaine, mouvement de grève, non à priori, c’est un problème technique.
On rebrousse chemin et effectivement Sylvain est à genoux devant son destrier blessé. Il a voulu ramasser du bois mais son dérailleur a avalé de travers et la patte de dérailleur a rempli son rôle de fusible et a cédé. La sortie est donc compromise, 2ième abandon. Ni une ni deux, Luc sort Max du lit, c’est lui qui viendra chercher Sylvain avec la cinq spéciale ‘’EuropAssistance’’. On abandonne donc Sylvain à son sort, et on file faire une tour des bois puis 2 tours de montagne Russe, quand on aime…
Luc nous dirige maintenant vers le Loir en empruntant une descente d’où on ressort complètement moucheté.
On regagne Montreuil par les bords de Loir, alors que Luc est toujours en train de guider ‘’EuropAssistance’’, on ne se sait toujours pas si Sylvain a été rapatrié….ça doit être bon, pas d’écho à la télé depuis.
Puis direction Seiches par d’autres chemins pour récupérer les bois qui nous ramèneront en direction de la Roche Foulque. On ne peut s’empêcher de gravir la côte de la chapelle, mais de retour sur les berges du Loir, il manque 2 équipiers, Abdou et Titi, décidemment, c’est perdu de vue aujourd’hui. Luc part en reconnaissance, mais il revient bredouille. On repart donc direction le Stade où l’on retrouve nos deux compères, l’un est rentré direct sans gravir la chapelle, l’autre n’a pas trouvé la descente de la chapelle et il est rentré par la route.
Au final, 38 Km pour 18 de moy.
PS : Luc, regarde cette semaine s’il n’y a pas des ronces qui poussent dans tes roues, car avec 1 à 2 crevaisons par semaine, y’a forcément un raison…..allez sans rancune.
Eric