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Résumé du 24 juin
Ça y est, on est à l’heure d'été, j’arrive à 8h au stade, mais il semble que je sois le seul à avoir pris en compte le changement d’horaire…
8h15, Pierre-Yves arrive, je commençais à désespérer, puis c’est au tour de Lolo puis Christian, pas de Lucos pas de Bertrand, Olive lui est excusé il est de déménagement. Pas la peine d’attendre plus, les autres ont, soit mal digéré la défaite des bleus, soit ont d’autres activités au programme.
On prend un kf et il est décidé d’aller en direction du Lac de Maine, déjà le vent forci, on va donc le prendre de front en partant côté plage, on passe le pont et on poursuit le long de la Sarthe jusqu’à l’intersection vers Noyant. Je propose d’aller monter la côte, mais cela n’enthousiasme personne. On continue donc le long de la rivière jusqu’à Cantenay Epinard et on change de rivière, on suit donc la Mayenne, et on fait attention car l’ornière est toujours aussi traître. Chacun y va de sa petite figure. Petite pause au bac de l’ile St Aubin, et on repart direction Angers, où je me laisse surprendre en bifurquant trop tôt dans un accès pour bateau. Demi tour, je n’avais pas mes palmes de toute façon.
On continue sur les berges du front de Maine, où le vent est très soutenu. On prend le Lac de Maine côté Maine, et on esquive les marcheurs, coureurs, Vttistes avec prudence. On poursuit jusqu’au pont de Prunier que l’on traverse pour aller se faire la descente. Je passe en premier, et derrière moi, Kiki prend la suite, mais il n’a pas pris la bonne trajectoire, sa corne de guidon tape un arbre et sa roue avant vient se bloquer contre un souche, et là notre Kiki fait le plongeon de l’année. La réception est brutale, je crains le pire. Kiki se relève péniblement, les lunettes sont en vrac, et le cervicales ont mangé aussi, l’épaule a résisté mais le bonhomme est un peu secoué, et il lui faut quelques minutes pour retrouver ses esprits. On repart donc direction la Baumette, en gravissant la petite côte en schiste qui cette fois est sèche et praticable, on redescend de l’autre côté puis on roule direction Angers avec cette fois le vent favorable et pour le reste de la sortie.
On rattrape le pont du Tram, puis les berges direction Ecouflant, puis les Sablières, pour arriver finalement à 11h00 au stade après 44 km/h à 21,4 de moy.
On partage un p’tite mousse et chacun regagne son domicile pour finir un dimanche de Toussaint bien triste.
A+
Éric